Emménagement [suite : une longue journée]

Minoës venait d'arriver en ville et elle commençait déjà à se demander si cette expérience ne serait au dessus de ses forces. Le soleil ne lui fessait certes rien mais dans les villes, il y avait beaucoup de gens. Elle ne savait pas si elle réussirait longtemps à maîtriser son instinct, son envie de sang humain. Elle refusait catégoriquement d'en boire et se nourrissait comme n'importe quel humain même si elle préfèrerais s'en passer. Elle entra dans l'immeuble et, en montant les marches menant à son nouveau chez elle, elle croisa une jeune fille et du se dépêchée de la dépassée tant son envie de la mordre fut forte. Arrivée devant la porte, elle sortit les clés de la poche de son jean bleu foncé ceinturé de fines chaines en argent, ouvrit la porte et pénétra dans l'entrée. Une pièce lumineuse eu sol en parquet, excepté un mètre devant la porte qui était en carrelage blanc. Sur cette portion, un meuble à chaussure était posée, du côté droit et un porte manteau à gauche. Les mur couverts d'un papier couleur pêche n'était pas à son goût mais elle se dit qu'il serait toujours possible de le faire changer. Au fond de l'entrée, il y'avait une porte coulissante en papier de riz et bambous qui menait au couloir, retirant ses chaussures et enfilant une paire de chausson, elle y pénétra. Le couloir spacieux au murs blanc et au sol parqué était illuminé grâce aux ouvertures menant aux différentes pièces. Sur le côté droit, le bureau, le salon, la salle à manger et la cuisine n'avait pas de porte. En revanche, sur la gauche, les deux chambres (Minoës avait prévu une ou un colocataire), la salle de bain et les cabinets avait une porte coulissante en papier de riz et bambou. Minoës, entra dans toutes les pièces et s'aperçut que tous avaient été aménager et ranger avec soin. Elle pensa que l'auteur de cet ordre était surement un des domestiques de la famille, celui que ses parents enverraient faire le ménage. Elle fut bien contente de cela, car elle n'aurait pas eu le temps de tous ranger en une nuit. Elle allait faire son entrée eu lycée demain. Elle entra dans la salle de bain, se fit couler un bon bain dans la grande baignoire carrelée et rectangulaire. Elle pénétra dans l'eau chaude et se relaxant, détailla la pièce. Un lieux grand, pour elle seule. Le sol en petit carrelage blanc s'accordait un peu avec le papier peint bleu clair et le lustre en fer au plafond. La plus grande partie du mobilier était en bois massif et leur couleur miel foncé choquait un peu sur le bleu des murs. Il y'avait une commode en bois ou se trouvait les serviettes, les gants et des objets (brosses à dents neuve, dentifrice non entamés ...), sa coiffeuse était près de l'entrée et contenait, elle en était sure, ses crèmes et lotions, sa brosse à cheveux, ses peignes, ses pinces & barrettes, ainsi que ses trousses de maquillage qu'elle n'utilisait presque plus. Son fauteuil de style anglais était devant la coiffeuse. Près de la baignoire, il y'avait le lavabo en verre et un miroir au dessus. Une étagère au dessus du lavabo présentait un verre contenant sa brosse à dent et son dentifrice posé à côté. A côté de la commode, elle même à côté de la coiffeuse et en face de la baignoire, il y avait un grand miroir fixé au mur. Elle pourrait se regarder entièrement le matin une fois habillée. Elle attrapa son gèle douche à la noix de coco sur le petit meuble à droite de la baignoire et entreprit de se savonnée. Une fois fait, elle vida le bain, se rinçât et sortit se séchée. Un fois fait, elle enfila une robe légère et jeune, se coiffa et sortit de la salle de bain. Elle se dirigea dans le bureau, une pièce spacieuse et lumineuse au mur blanc et au sol recouvert de moquette blanche. Une bibliothèque posée à droite à côté d'un ensemble de fauteuils en cuir et d'une lampe sur pied, sur la gauche un bureau ancien en bois massif et un autre légèrement plus petit sur lequel était posé ses deux ordinateurs portables. Au fond, une grande fenêtre avec des rideaux fessait face à la ville. Un spectacle auquel la jeune aristocrate n'était pas habitués. Aristocrate, elle détestait ce mot et pourtant en vue de sa famille, c'est ce qu'elle était. Elle prit un livre au hasard, "Pride and Prejudice" de Jane Austen et s'installa sur un des fauteuils.

Le soleil commençant à se couché, elle venait de finir son livre quand elle s'aperçut qu'il était près de 20h00, elle avait lu pendant environs quatre heures...Elle entra dans la cuisine, une pièce au parquet miel et aux mur lambrissés d'une couleur légèrement plus clair. Un frigo à droite, à côté d'une table et d'un meuble à vaisselle; et, à gauche, un fourneau digne d'un grand chef (avec plaque à inductions, plaque chauffantes et four), un plan de travail avec un cuit vapeur et un ensemble de couteaux de cuisines ranger dans une petit tonneau en bois. La fenêtre du fond avait la même envergure et la même vue, en peu décalée, de celle du bureau. Elle se prépara rapidement un ensemble de sushi qu'elle mangea dans la salle à manger, une salle contenant une grande table en chêne massif et dont l'un des murs était une baie vitrée. Une fois finit, elle débarrassa ses couverts et fit la vaisselle, un acte peu courant dans sa vie passée. Regardant l'heure, elle alla enfiler un pyjama et se coucha. Sa chambre était faite sur le même modèle que la deuxième excepté que le dressing était vide. La pièce énorme en soi était coupé en deux part non égales. L'une servait de dressing avec des penderies et des meubles à tiroirs. L'autre contenait un grand lit avec des oreilles moelleux, une couverture douillette et une unique peluche, un éléphant violet que son amie lui avait offert. Elle éteignit la lumière et s'endormit rapidement, dans un sommeil profond. Le lendemain, elle se lèverais tôt pour aller à son premier jour de cours et elle ne tenait pas à être en retard. Sur l'une des tables de chevet encadrant le lit, un réveil affichait 23h30.